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"La guerre comme une fatalité ? Avec les blessures, les brisures qu'il faut ensuite porter, peut-être pas pour les surmonter, mais au moins pour les métaboliser. Anne Brousseau propose avec beaucoup de pudeur et de délicatesse son "repos du guerrier" : guerrier effectif ou guerrier métaphorique ? La guerre est finie, mais la guerre peut-elle jamais finir ? Avec le poids des traumatismes, la difficulté d’adhérer au monde et au langage qui lui est consécutive, la peur du sommeil et de ses monstres, l’effort sensuel de reconquête de l’espace familier, le jardin notamment... » Yves Humann
Un beau livre pour dire la douleur, la colère, mais aussi l'espoir de réconciliation et de bonheur retrouvé.
Anne Brousseau S'il fallut un jour la guerre
Dessin de couverture : Cécile A. Holdban
Critique de Patrice Maltaverne
Critique de Chantal Couliou revue Portulan Bleu n° 38
Critique de Jacmo Revue Décharge